Comment le psychanalyste praticien laisse-t-il passer entre son patient et lui, une parole spontanée qui se révèle efficiente ? Cette question sera abordée à partir de l’expérience singulière de l’auteure, celle d’un travail psychanalytique avec des bébés, des infans, ne vivant pas dans leur famille pour avoir été confiés à l’Aide sociale à l’enfance après des épisodes dramatiques. Des bébés qui en appellent à témoin, des bébés à lire, à déchiffrer, à même le vivant du corps.
L’auteure s’appuiera dans cet essai, et sur sa formation d’analyste, et sur la pensée chinoise, sur la langue chinoise – graphique avant d’être orale – qui offre des ouvertures magnifiques pour envisager cette délicate question.
Avis
Il n’y a pas encore d’avis.