« Dans ces conditions que reste-t-il au psychanalyste ?
Son premier et dernier secours : le recours à la clinique et à ses lois.
Il y a urgence à inventer et établir le praticable adéquat pour la publication de l’expériencepsychanalytique élevée à la dignité du témoignage.
Publier serait l’illusion heuristique susceptible de faire pièce aux trois passions qui fondent pour l’analyste l’horreur de son acte : l’amour, la haine et l’ignorance… Alors psychanalystes :
Légiférez !
Et vite !
Y’a l’FEU. »
Avis
Il n’y a pas encore d’avis.